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Le fondateur de l’école autrichienne Carl Menger est souvent associé à Stanley Jevons et Léon Walras comme l’un des piliers de la « révolution marginaliste » qui a fait rupture avec le classicisme anglais de Ricardo et Mill. Il est vrai qu’il cherche, comme ses contemporains, à rendre compte de la rationalité des choix individuels. |
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François Fillon : « Je me battrai jusqu’au bout » |
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Écrit par Jacques Garello |
Mardi, 14 Février 2017 00:00 |
Il ne craint pas le verdict du Parquet, ses électeurs le soutiendront
Le Journal du Dimanche (12 février) avait annoncé la publication imminente du verdict du Parquet National Financier, qui s’est empressé de démentir : "Aucune décision n'est prise à ce stade de l'enquête" et "aucun calendrier n'est fixé à ce jour". Cela n’a pas empêché la plupart des médias de reprendre l’annonce du JDD et d’imaginer quantité de scénarios à partir de cette fausse vraie nouvelle. Néanmoins, il n’est pas souhaitable, pour François Fillon et sa campagne, de voir traîner les choses : ne rien voir venir hypothèque sa campagne, quel que soit le verdict. Cependant, depuis La Réunion, le candidat a rappelé qu’en tout cas il mènerait sa campagne jusqu’au bout. Cela signifie sans doute qu’il a la certitude de ne pas être mis en examen, ou de pouvoir faire appel d’un tel verdict en arguant de l’inconstitutionnalité de la saisine du PNF, comme ses avocats l’ont laissé entendre la semaine dernière. Une fois de plus, cette nouvelle incertitude est pesante. Si le verdict du PNF concernant l’affaire des emplois fictifs était positif et innocentait le candidat, ce serait une belle ascension dans les sondages. Dans le cas contraire la meute médiatique reprendrait sa chasse, plusieurs élus de la droite et du centre soucieux de leur réélection quitteraient le navire, Bayrou pourrait se présenter en recours miraculeux : autant de catastrophes certes. Mais que feraient les électeurs de François Fillon ? On peut espérer qu’ils lui restent fidèles, car la réalité du complot ne cessera de s’affirmer peu à peu. L’abstention ne serait pas pour eux une solution, puisqu’elle conduirait à un second tour Le Pen-Macron (à supposer que celui-ci ou celle-là ne soit pas à son tour victime d’une chausse-trappe). La pertinence du programme de rupture s’imposera finalement, et de nouveaux soutiens accompagneront celui qui est le seul à engager la France sur une voie salutaire, fût-il coupable aux yeux d’une juridiction d’exception où siègent des magistrats triés sur le volet par le président Hollande et nommés par la garde des Sceaux Christiane Taubira. La justice au service de l’idéologie partisane : voilà une raison de plus d’accompagner François Fillon, et de faire valoir cet argument auprès des électeurs pour qu’ils lui accordent leurs suffrages. Le combat est engagé entre les médias, la classe politique d’un côté, et de l’autre la société civile. Comme l’a répété avec insistance François Fillon dès le début de sa campagne : c’est nous qui choisissons, et pas les journalistes ni les politiciens, ni même les juges. Ne nous laissons pas voler notre vote, allons à l’essentiel. |
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Au sommaire du n°1362 du 2 mai 2018 Editorial : Victoire des Black Blocks
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